Menu Content/Inhalt
Accueil arrow COLOMBIE
COLOMBIE
Paris: TODOS SOMOS CAMPESINOS // Cycle de projections-débat Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
16-11-2013
Les collectifs "Le Chien qui aboie", "Teje" et "Pico Y Pala" s'associent pour présenter un cycle de projections-débats sur les mobilisations paysannes et urbaines pour le droit à la semence et contre les traités de libre-échange en Colombie.

9.70 de Victoria Solano / 43 mn VOSTF 
OVEJAS TOREADAS de Balaclava y Tropico Media Films / 8 mn VOSTF 
ARDE LA CAPITAL de Kinorama / 8 mn VOSTF 

3 dates et 3 lieux pour venir débattre avec des spécialistes de la question et des militants !
Lire la suite...
 
Tacueyó : « Ce sont des enfants sans expérience, qu'aujourd'hui, on doit recouvrir de terre. » Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
08-04-2011

NOUS N'OUBLIONS PAS et rappelons les faits survenus le 26 mars dernier, dans le secteur de Gargantillas du Resguardo de Tacueyó, Municipio de Toribio, où la police nationale, avec l'aide aérienne du “Commando jungle antinarcotiques”, a bombardé un campement du Sixième Front des FARC, « intégré par des forces spéciales, [et] où la force publique a abattu quinze terroristes » selon les commentaires du président Juan Manuel Santos.

 NOUS N'OUBLIONS PAS que ces dites « forces spéciales » étaient pour la majorité des enfants et des jeunes récemment engagés, selon les témoignages de la communauté, dans un campement qui existait depuis environ 20 jours.

 NOUS N'OUBLIONS PAS et nous continuons à dénoncer que, comme l'a manifesté la communauté, deux civils – Edgar Fabián Silva Ipia y Manuel Ipia de El Triunfo de Tacueyó – ont été portés disparus durant l'opération militaire, alors qu'ils allaient chercher un proche blessé, dans un exercice humanitaire. Le 29 mars, dans les installations de médecine légale de Cali, les deux communards mentionnés ont été retrouvés morts, comptés dans les quinze terroristes présumés abattus lors de l'opération militaire.

Lire la suite...
 
Les victimes des « grands coups portés aux FARC » sont encore les peuples indigènes Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
08-04-2011

Pour les enfants massacrés dans le Nord du Cauca (Colombie)      

     Nos plus sincères et  regrettés sentiments d'horreur et de douleur devant ces faits. Nous crions notre refus à ces camps en guerre, à ceux qui tirent et à ceux qui ordonnent, d'où qu'ils viennent. Notre répugnance parce que cette terreur et cette guerre sont pour le Capital qui maintenant massacre vilement des enfants pour voler le territoire et ceux qui disent lui résister, les FARC, qui l'aident à tuer, à déprécier la vie en constituant l'autre camp afin d'éliminer les peuples. Nous avons mal pour les communautés, les familles, les mères, sœurs, toute la communauté. Nous avons mal. Nous appelons depuis notre douleur à ne pas permettre que ce massacre soit vain, qu'il se convertisse en une dénonciation de plus. Que se lève ce peuple depuis la base, tout le Territoire du Grand Peuple (Cxhab Wala Kiwe) et mette toutes ses capacités et ses ressources pour résister à un système qui massacre, dépouille, achète, envahit et trompe pour s'enrichir. Chaque mort est un villageois, une villageoise en moins. Chaque assassiné, pousse à se passer de la dénonciation  et avaler la douleur. Ils viennent voler la culture, le territoire, le processus. Ils viennent avec des balles, avec des projets, avec des marchés. Ils viennent privatiser l'eau, la terre, les mines. Ils viennent convertir le travail des gens en main-d’œuvre pour les méga-projets. Ils viennent à convertir les enfants morts en chiffres qui justifient de l'argent pour les projets. Ils convertissent en marchandise la douleur.

Lire la suite...
 
Genèse de la disparition forcée en Colombie Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
06-04-2011

Les premières disparitions forcées se produisent à la fin des années 70’ en Colombie, dirigées contre des militants reconnus de gauche (syndicalistes, étudiants, intellectuels, entre autres), des partis politiques d’opposition comme le Parti Communiste, ou des membres d’organisations insurgées capturés en dehors des combats. À cette époque, on en sait très peu sur ce genre de crime, il n’est pas considéré comme un acte criminel dans le pays. Les autorités judiciaires et politiques le justifient en signalant simplement qu’il s’agit de personnes disparues ou qui ont décidé d’intégrer des groupes insurgés. Depuis, des informations concernant les victimes ont été recueillies, la plupart du temps par des organisations de défense des droits humains qui ont enregistré de nombreux cas dans leurs bases de données, mais ceux-ci restent dans la plus totale impunité.

 

Lire la suite...
 
Colombie : Silence on tue ! Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
13-05-2010

Campagne internationale pour la libération des prisonniers politiques du Catatumbo et l'arrêt des montages judiciaires.

Lire la suite...
 
<< Début < Précédente 1 2 3 4 5 6 7 Suivante > Fin >>

Résultats 1 - 9 sur 56

Soutien !

Si vous voulez collaborer au site en proposant des traductions ou soutenir financèrement ce projet 100 % indépendant, merci de nous contacter !