Des organisations sociales qui se sont mobilisées dans le cadre du plan de lutte pour des "coopératives sans punteros" à la municipalité de Esteban Etchevaria (banlieue sud de Buenos Aires) ont été réprimées par la police, il y a eu des blessés et quinze personnes arrêtées, libérées dans la soirée.
Eduardo Paez a commenté comment la police l'a traité : "ils m'ont frappé dans le dos et à la tête et je suis resté inconcient environ une demie heure. Quand je me suis éveillé, j'étais déjà au commissariat".
Paez a aussi révélé qu'au commissariat les policiers donnaient des coups de pied aux détenus et que les mêmes policiers lui ont volé son téléphone cellulaire et le montrait comme butin de guerre au cri de "Le cellulaire nous le gardons, imbécile".
Les 15 détenus ont estimé que la manifestation aux portes du commissariat a accéléré leur libération. Des rassemblements dans le centre de La Plata et au pont de La Noria demandaient également leur libération.
Paez a aussi révélé qu'au commissariat les policiers donnaient des coups de pied aux détenus et que les mêmes policiers lui ont volé son téléphone cellulaire et le montrait comme butin de guerre au cri de "Le cellulaire nous le gardons, imbécile".
Les 15 détenus ont estimé que la manifestation aux portes du commissariat a accéléré leur libération. Des rassemblements dans le centre de La Plata et au pont de La Noria demandaient également leur libération.
