Zelaya a remercié la République dominicaine le "sauvetage historique" puisqu'elle l'ont tiré de la "terrible tragédie que vivait sa famille".

À la fois, il a signalé qu'il a été prisonnier pendant 129 jours dans son propre pays "en étant le président élu dans des élections libres, transparentes et honnêtes".

Durant son séjour en République Dominicaine, Zelaya sera traité comme hôte distingué, comme l'ont décidé Fernandez et Lobo.

De son côté, le président Leonel Fernandez a catalogué Zelaya comme un symbole de la démocratie en Amérique latine et a réitéré la condamnation de son Gouvernement au Coup d'État du 28 juin.

 

Zelaya a remercié l'intervention du Gouvernement du Brésil, qui lui a permis de se loger dans son ambassade et le soutien de l'Organisation des États Américains (OEA), du président costaricien Oscar Arias, ainsi que les mandataires d'Amérique du Sud, Centrale et des États-Unis.

Bien qu'il a dit que malgré toutes les tentatives "on n'a pas pu réussir la restauration de la démocratie en raison de l'inaccomplissement des accords" de la part d'une des forces impliquées dans le conflit politique.

Ce même mercredi, Porfirio Lobo a assumé la présidence du Honduras, après avoir été le gagnant des élections controversées de novembre.

Agence Pulsar, 28 janvier 2010.
http://www.agenciapulsar.org/nota.php?id=16616

 

Traduit par http://amerikenlutte.free.fr