Les trois filiales de la Confédération de Nationalités Indigènes d'Équateur (CONAIE) ont décidé de rompre le dialogue avec le Gouvernement de Rafael Correa et ont convoqué à un soulèvement pluri-national.
La résolution a été prise dans l'Assemblée Extraordinaire de la CONAIE jeudi et vendredi dernier.
Le président de l'organisation indigène la plus importante du pays, Marlon Santi, a signalé que "la CONAIE considère terminé le dialogue avec le Gouvernement National en raison de l'absence de résultats".
De plus, il a appelé tous les secteurs sociaux à se joindre au soulèvement à travers des actions de mobilisation.
La CONAIE a mis en cause le Gouvernement "pour ne pas avoir modifié l'État colonial et pour continuer à renforcer le modèle néolibéral capitaliste".
Un autre des résolutions de l'Assemblée a été la formation du Conseil de la Participation Citoyenne et l'établissement d'un Parlement Plurinational.
La Confédération a décidé d'exercer le droit collectif sur les terres et les territoires et de mettre en application "un propre processus d'éducation, de santé, de justice et d'administration de ressources naturelles et de biodiversité pour l'exercice du bon vivre".
Le président de l'organisation indigène la plus importante du pays, Marlon Santi, a signalé que "la CONAIE considère terminé le dialogue avec le Gouvernement National en raison de l'absence de résultats".
De plus, il a appelé tous les secteurs sociaux à se joindre au soulèvement à travers des actions de mobilisation.
La CONAIE a mis en cause le Gouvernement "pour ne pas avoir modifié l'État colonial et pour continuer à renforcer le modèle néolibéral capitaliste".
Un autre des résolutions de l'Assemblée a été la formation du Conseil de la Participation Citoyenne et l'établissement d'un Parlement Plurinational.
La Confédération a décidé d'exercer le droit collectif sur les terres et les territoires et de mettre en application "un propre processus d'éducation, de santé, de justice et d'administration de ressources naturelles et de biodiversité pour l'exercice du bon vivre".
Pour cela, ils exigeront le maniement de toutes les réserves naturelles, de parcs et de bois. Et ils se sont mis d'accord pour défendre "l'intromission des autorités gouvernementales dans les territoires et les peuples indigènes".
En même temps, ils ont exigé l'autonomie immédiate des institutions indigènes.
De son côté, le Gouvernement a critiqué avec dureté les résolutions de la CONAIE. Le président, Rafael Correa, a critiqué les dirigeants et a assuré qu'il ne permettra pas le séparatisme.
Agence Pulsar, 01 mars 2010.
En même temps, ils ont exigé l'autonomie immédiate des institutions indigènes.
De son côté, le Gouvernement a critiqué avec dureté les résolutions de la CONAIE. Le président, Rafael Correa, a critiqué les dirigeants et a assuré qu'il ne permettra pas le séparatisme.
Agence Pulsar, 01 mars 2010.
Traduit par http://amerikenlutte.free.fr